BI experience

30 septembre 2013
par maryam khiali
0 Commentaires

Mise en place d’un portail sharepoint : intégrer les briques BI

Dans ce post nous allons parler de l’intégration des briques BI (performancePoint, reporting services, Excel services, powerview, powerpivot)

Comme nous avons pu le voir à travers un autre post, sur vos pages, vous allez pointer sur vos librairies à travers des composants webparts.

Pour performancePoint il faudra utiliser :

Comme vous pouvez le constater avec performance point, vous pourrez afficher dans une page :

  • des scorecards (ou carte de performance)
  • des rapports performance point (rendu un peu comme SSRS)
  • des filtres qui pourront intéragir avec vos scorecards
  • un selecteur de pile

Vous n’aurez pas la possiblité d’afficher un dashboard en tant que webpart car un dasboard est une page à part entière…Il faudra donc passer par des liens qui pointeront vers ce dashboard par exemple ou par le composant « visionneuse de page ».

Pour reporting services il faudra utiliser :

Pour Excel services se sera :

Pour powerpivot, vous pourrez aussi utiliser Excel services vu que la couche présentation reste un Excel et sharepoint propose en plus une présentation sous forme de gallerie grâce à la librairie « PowerPivot Galerie » :

Et enfin pour PowerView (voir ce site ) on choisira soit la visionneuse de page ou le composant webpart silverlight au choix:

Ou

Vous pourrez maintenant choisir vos composants simplement en fonction de vos besoins d’affichage….

19 septembre 2013
par maryam khiali
0 Commentaires

Mise en place d’un portail sharepoint : structure générale (2/2)

Après vous avoir décrit le fonctionnement général dans cet article

Je continue avec ce post pour vous parler du stockage et de la représentation dans sharepoint. Je m’explique. Dans un site vous pouvez aller dans

Vous y trouverez toutes vos librairies (ce qui vous permet de stocker vos documents, rendez vous, annonces, contacts…). Vous pouvez en ajouter de nouvelles sans restriction :

Après avoir alimenter vos librairies, vous pourrez mettre à disposition ces informations à travers des pages dans Sharepoint (qui sont elles mêmes stockées dans une librairie « page »).

Attention : il existe 2 types de pages :

Afin de pouvoir insérer tous les composants et surtout les faires communiquer et intéragir comme vous le voulez (exemple : un filtre performance point avec un scorecard), il faut prendre la « page de composants Webpart ».

Après avoir cliquez sur la page crée, vous pouvez la modifier :

Vous serez ainsi à même de présenter les librairies (à travers les composants webpart) que vous voulez avec le designe désiré

La présentation des données ne se fait qu’à travers des liens vers les libraries à travers des liens hypertextes (voir le menu de gauche) ou à travers les composants webpart.

J’espère qu’avec ces deux posts sur la structure générale de sharepoint vous serez plus à même d’appréhendez ce produit.

18 septembre 2013
par maryam khiali
0 Commentaires

Conférence Claranet sur le Big Data

Il y a quelques jours, j’ai assisté à une conférence très intéressante, animée par Claranet.

Cette conférence montrait que Claranet vient de mettre en place grâce à son partenariat avec Nutanix une plateforme d’hébergement « new génération ». Cette plateforme permettra de répondre à toutes les problématiques futures du big data : voir l’article journal du net.

Afin d’illustrer l’utilité de ces plateformes, il nous a été présenté comment facebook gérait sa volumétrie de données.

Facebook utilise hadoop avec en système de stockage HDFS et en système de gestion de base de données Hbase.

Facebook a séparé en 3 sa gestion de données :

  • OLTP : pour tout ce qui est online.
  • ODS : pour toutes les métrics des serveurs
  • Datawarehouse : les anciens, messages, documents (c’est la vie des données)

Avec Hbase, facebook gère des milliards de messages en tout genre par jour.  Le challenge est de proposer un service haute disponibilité, performant, avec un système qui permet de retrouver les données facilement.

Voici des cas concrets d’utilisation de HBase :

Exemple  1: Pour monitorer leur serveur, facebook stock des metrics (nb noeud, CPU, RAM, I/O, flash memory, SSD…) dans leur ODS.  Avec Hbase, ils ont des bonnes performances et un bonne interface graphique pour interpréter les données ( à travers des graphiques)

Exemple 2: Il l’utilise aussi pour analyser la popularité d’une URL : (nb clics, si les Flux de cette URL sont lus, si la page est lue, s’il partage ce lien, leur localisation…)

Exemple 3 : Géneric key value

Un autre utilité est de proposer un système de stockage uniforme : plus besoin de créer de MCD, le stockage clef/valeur permet aux applications de facebook de stocker leurs données de la même manière.

Ce genre d’accès est facile à monitorer

Exemple 4 : Graph Search Indexing

Pour le datawarehouse, voici un exemple de stockage.
rowKey : documentID (exemple une photo)
value : terms, données du document

Graph Search Indexing permet donc de faciliter la recherche de document à travers ce stockage clef/valeur.

Les principes prioritaires à retenir d’après facebook :
- la haute disponibilité est primordiale
- il faut liumiter l’intervention humaine
- être en update continue (opposition au système de version)
- prévoir les rack failures
-pourvoir monitorer ces serveurs à travers des metrics
- monitorer ces noeuds (en avoir de réserve en cas de pb, voir pourquoi un noeud se désactive automatiquement car il y a un problème, ajouter un noeud pour plus de monter en charge…)

Ces exemples illustrent un système de stockage souple qui répond à plusieurs problématiques.
Maintenant, Nutanix propose une architecture flexible (voir la video)  en plus ce de genre de système de stockage. L’un des avantages au niveau de l’architecture proposée  est qu’il n’y a plus besoin de SAN (très couteux).

L’alliance du système de stockage HDFS et de l’architecture que propose Nutanix garanties un projet dans le cloud, scalable et flexible.

J’espère avoir bien saisi les concepts évoqués dans cette conférence car ce n’était pas évident. En effet, il y a des concepts que je ne connaissais pas et la présentation était en full anglais.

N’hésitez pas à me faire vos retours.

12 septembre 2013
par maryam khiali
0 Commentaires

Mise en place d’un portail sharepoint : structure générale (1/2)

Alors par ou commencer…

Tout d’abord voici une image de la structure qu’on peut retrouver sur ce site

En gros pour avoir un site sharepoint il faut une web application. Cette web application pourra contenir plusieurs collections de sites. Chaque collection de sites pourra contenir plusieurs sous sites.

Dans le central administration de sharepoint vous retrouverez d’ailleurs les menus suivants :

Pour les web applications :

L’adresse de votre site sharepoint commencera par http://maWebApplication:monPort/

Ensuite vous aurez les sites collections :

L’adresse sera complétée comme ceci : http://maWebApplication:monPort/maCollectionDeSite

Dans cette collection de site vous pourrez créer autant de sous sites que vous voudrez en dehors du central admin, directement dans votre nouveau site sharepoint http://mawebapplication:monport/macollectiondesite. Pour ce faire aller dans contenu du site :

Puis en bas de la page vous pourrez y voir :

Après créaction d’un sous-site, l’adresse aura ce format : http://maWebApplication:monPort/maCollectionDeSite/monSousSite

La suite dans un prochain post.

11 septembre 2013
par maryam khiali
0 Commentaires

Mise en place d’un portail Sharepoint : Personnalisation sandbox ou solution?

Lors de la mise en place d’un portail sharepoint, il arrivera toujours un moment ou l’utilisateur vous demandera des affichages, des comportements qui ne sont pas natifs.
Pour faire de la customisation de comportements, de composants, un expert Sharepoint (architecte) m’a expliqué qu’il existe 2 types de projets de développement:

  • type solution
  • type sandbox

Faisons un peu d’histoire.

Le projet de type « solution » :

Dans Sharepoint 2007 il n’existait qu’un seul type de projet : solution. L’administrateur sharepoint receptionnait le WSP (résultat du développement) et l’incluait dans la ferme sharepoint.  Aujourd’hui le type projet solution fonctionne toujours comme cela : il faut les droits d’administrateur pour déployer un WSP.

  • Le risque de ce type de solution est le suivant : si le WSP contient une boucle infinie, la ferme sharepoint pourrait potentiellement  crashée et il faudrait désactiver le bon composant. Cette tâche peut être compliquée quand on a beaucoup de WSP specifiques. 
  • De plus beaucoup d’hébergements de portails Sharepoint se font à travers des VM. Or plusieurs portails peuvent être placés sur une même machine. Le risque est donc encore plus grand de pertuber les autres portails…
  • Pour plus de sécurité il faut donc que l’administrateur puisse tester le WSP sur une autre ferme sharepoint pour être sûr du fonctionnement de ce dernier…

Le déploiement de WSP n’est donc pas anodin.

Le projet de type « sandbox » :

Depuis sharepoint 2010 il existe ce type de projet qui permet :

  • de tester et débugger  plus facilement ( upload du composant dans une page et  tests possibles immédiat (explications dans un prochain post))
  • de déployer directement dans une « site collection » sans avoir les droits d’administrateur sur la ferme : il est juste nécessaire d’être administrateur de la « site collection ».
  • de ne mettre en danger entre guillemet qu’une partie restreinte de la ferme sharepoint 
  • de plus le code est supervisé : si la ressource prise par ce WSP est trop importante, sharepoint le désactive automatiquement
  • les inconvénients majeurs sont que le développeur est quand même limité. Exemple pas possible de faire d’upload de file ou d’utiliser l’envoie de mail. Il faudra pour réaliser ce genre de composant repasser dans un projet de type solution

Le type de projet sanbox est plus facilement manipulable pour les débutants de la personnalisation de sharepoint.

Lors de l’interview d’un autre expert sharepoint (développeur de features), ce dernier a confié qu’il ne créait jamais de projet de type sandbox pour ne jamais être limité.

Si vous aussi vous avez des retours d’expériences n’hésitez pas à commenter…